Bonjour ma Tortue Voyageuse et bienvenue dans cette nouvelle vidéo
qui va te faire voyager à l’autre bout du monde.
Cette fois-ci, je suis parti à la trace de mes origines,
Dans le pays qui a vu naître ma mère : la Turquie.
J’ai décidé de voyager uniquement dans le sud-ouest de ce gigantesque pays.
Je ne voulais pas me précipiter,
Et souhaitais savourer les moindres détails
D’une seule et infime partie,
De ce joyaux qu’est la Turquie.
Avant de nous lancer dans l’aventure, je souhaite te remercier, toi qui me regarde,
Sans qui toutes ces aventures n’auraient pu être possibles.
A toi, et aux milliers d’autres tortues qui aujourd’hui suivent quotidiennement mes aventures autour du monde,
Se laissant bercer par mes images et mes expériences.
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Allez, sans plus attendre, partons ensemble visiter le sud-ouest de ce merveilleux pays,
A la frontière de l’Asie et de l’Europe : la Turquie.
Mon périple a débuté sur la mer Égée,
De la ville de Bodrum à la presqu’île de Datça,
Je fus initié aux bases de la navigation sur un voilier.
Arrivé au port de Kairos,
C’est la pluie qui m’attendait.
J’ai traversé la presqu’île de Datça, du Nord au Sud en direction de la ville portant le même nom.
Les paysages étaient splendides.
Je suis passé de la forêt,
Jusqu’aux sommets.
Le vent soufflait énormément,
Mais le soleil me réchauffait.
J’ai pu assister,
Perché seul à des centaines de mètres,
A un des plus beaux lever du soleil de ma vie.
J’ai pu découvrir des bâtisses abandonnées,
Qui a l’odeur faisait deviner,
qu’elles dataient de bon nombre d’années.
Puis je suis passé dans la vieille ville de Datça,
Qui paraissait presque, elle aussi, abandonnée.
Une fois arrivé dans la ville de Datça,
J’ai pu reprendre mon souffle et me donner à l’écriture.
Je n’ai pas hésité très longtemps avant de reprendre mon sac et de repartir,
Cette fois-ci, en direction de la ville de Fethye.
Sur le chemin, je me suis arrêté à Dalyan.
Très peu touristique,
Il n’y avait nulle part où dormir.
J’ai donc décidé de vivre chez deux fermiers,
Sebastian, du Kosovo et Jeran, turque.
Ainsi que leurs chiens, leurs chats, leur chèvres et leurs ânes
Ils ont décidé de se couper de notre société ultra-consommatrice,
Pour vivre dans leur ferme organique, montée de leurs propres mains,
Entièrement faite de matériaux abandonnés.
Ce séjour fut court mais intense.
Ils m’ont emmené voir des coins reculés,
Comme l’anciennes ville en ruine Grecque de Konos,
Ainsi que les tombes Lyciennes,
Sculptées à même la Pierre,
Et datant de plusieurs milliers d’années avant notre ère.
J’ai ensuite continué ma route pour Fethye,
Où la ville regorge d’une vie trépidante.
C’est ainsi que débuta mon second long périple,
Le long d’une des plus belles randonnées au monde : la voie Lycienne.
Faisant 500 Km au total, j’ai décidé de n’en faire qu’une Partie.
J’ai donc marché depuis Fethye,
À travers les forêts,
Jusqu’à la ville d’Öludeniz,
En passant par Kayakoy, une véritable ville fantôme.
J’ai pu d’ailleurs me perdre dans une ancienne ville Grecque abandonnée avant l’invasion Turque.
Un spectacle époustouflant.
C’est de nuit que je suis arrivé à Oludeniz.
Entièrement vide, en cette saison.
Avant de continuer mon périple,
J’ai décidé qu’il était temps que je fasse le grand pas,
Et que je tente de voler en parapente.
Malheureusement, le vent a éclaté une fois arrivés au sommets,
Et nous avons décidé d’abandonner lorsque le groupe qui me précédait,
s’est retrouvé plaqué au sol, au moment du décollage.
Le lendemain, la journée fut magnifique.
Je ne pouvais imaginer de paysages aussi spectaculaires.
J’étais seul, face à cette nature incroyablement belle et sauvage.
Imaginez-vous, juste quelques secondes,
vous réveiller juste ici.
Marcher quelques pas, et vous retrouver face à ce paysage.
La fin de la marche ne fut pas facile, surtout lorsque l’on est seul.
Après avoir enchaîné 25 Km le premier jour puis une trentaine ce jour-ci,
Mes pieds me faisaient mal.
Mais l’arrivée en valait le coup.
Kabak. Petit village perché en face de la mer,
Juste à côté de la splendide vallée des papillons,
J’ai pu une dernière fois observer,
Juste avant que ne se pointe la nuit,
Le soleil se coucher,
A l’horizon de la magnifique Turquie.
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